34 – JY, le livre, les photos

34 – JY, le livre, les photos

Mise à jour du 10 novembre 2025.

Voilà, nous y sommes,

Après la sortie du livre en février,

Je déclare ouvert le livre des photos du livre de ma vie,

« Ton Silence, Mon Héritage »

20 ans, Ouessant, les fameuses vacances de septembre 1977, (page 51)

mais elles sont un ordre chronologique,

donc n’hésitez pas à tous défiler pour me découvrir à tous les âges !

Typiquement, LA photo de fin de journée où l’on peut être photogénique !
Vous voyez ?
tout y est … comme je le raconte dans l’article 36…

Mais revenons au tout début … Comment tout a commencé !

« Jean-Yves, tu devrais aller voir ce film »

Maud, une amie très chère vient de m’appeler en me disant d’aller voir un film, il devrait me plaire car il parle de photos racontant une vie.

C’est le film  » Le Garçon » de Zabou Breitman et de Florent Vassault. il raconte à deux voix et voies la vie d’un garçon à travers de vieilles photos trouvées dans une boite en métal dans une brocante.

Maud ne sait pas encore à quel point ce film va me toucher (elle doit le voir plus tard), en effet le film raconte l’histoire d’un garçon, perdu dans une fratrie, gay et à peu près de ma génération. J’ai croisé les mêmes étapes que lui, pas la même vie, mais nous aurions pu nous croiser.

J’en sors, très touché, un peu triste pour lui, j’appelle immédiatement Maud pour partager mes émotions.

C’est décidé, les photos de ma vie ne finiront pas dans une boite en fer blanc dans une brocante.

J’ai déjà raconté ma vie, mon parcours, mes rencontres, mais maintenant j’ai une réelle envie, si ce n’est un besoin de faire revivre tous mes amis à travers mes photos, j’aimerais éclairer mon livre au travers de ces instants fixés, le tout doit revivre ensemble.

Allons-y.

J’ai déjà pas mal de photos, mais je replonge dans une mallette, longtemps fermée sur ses trésors, j’y retrouve nombre de photos oubliées, j’y retrouve même, au fond de la mallette, une boite en fer blanc qui avait recueilli toutes les diapositives de mes 20-23 ans ! un choc, le bonheur.

Ici, je vais pouvoir partager avec vous tous ces trésors, au fur et à mesure, petit à petit. ils vont venir éclairer ou vous permettre de regarder différemment ce livre, et si vous ne l’avez pas lu, ils vous donneront peut-être l’envie de le lire.


Commençons par Marguerite et Joseph, les parents de Maman (page 12 et 168 du livre)

Marguerite a un faux air d’Edith Piaf, elle aura d’ailleurs la même maladie déformante qu’elle.

C’est la Marguerite dont je parle tout au long du livre, et notamment nos retrouvailles page 183, et la photo du haut est celle de la page 218, celle qui est toujours dans mon bureau, là encore maintenant quand je vous écris.


Voici Virginie et Jean, les parents de Papa.

Avant cette photo de mes grands parents en voyage (grand mère en imper clair, grand père le seul homme de la photo) je ne m’étais jamais rendu compte à quel point Papa ressemblait à sa mère.

Grand-Père élégantissime, je le connaitrais, toujours ou presque, avec une cravate. J’ai d’ailleurs gardé certaines de ses lunettes.


Maman et sa fratrie,

l’ainée, toujours élégante depuis toujours, manifestement.

Et ses coiffures ! Elle ne devait pas sortir à l’improviste !

(page 13)


Papa et son frère

Manifestement, Papa aimait bien rigoler, comme toute sa vie.

et quel sourire ! et quel air espiègle ! l’ainé un peu moins !

il est le second, çà me rappelle une génération à venir !

(page 13)


Leur jeunesse, leurs amies et amis,

Maman, plus citadine, elle vit sa jeunesse à Rennes.

toujours très chic, que ce soit en ville où les photographes de rue d’après guerre ne la loupent pas,

ou que ce soit au bord de la mer avec ses amies et amis.


Papa, plus à la campagne avec sa ou ses bandes de copains,

que ce soit au service militaie à Coetquidan, ou à l’école d’horticulture à Igny,

mais toujours avec ce sourire si craquant,

il a toujours l’air heureux.

J’adore la composition, la structure, les groupes, les trios formés, pour être plus juste sur cette photo. le même trio qu’un peu plus haut torse nu ou en salopettes. A suivre. (page 366)


Nous sommes page 9, ou presque…

C’est le fameux camion de Willy,

entre St Brieuc et Rennes,

mais surement un jour où Willy, qui doit prendre la photo ce jour-là, est remis sur pied et a été accompagné par Yvon, peut-être pour revoir la jolie Mimi.

Ils sont encore toimides, manifestement.


Les fiançailles,

Papa avec des gants à la main, profitez-en, c’est rarissime !

Maman toujours aussi élégante !

le jeune homme , à droite, dans le bateau ! Je ne sais pas qui c’est (LOL) mais pas mal ! non ? Sacré Papa. Je te comprend, Maman.


Le Jour J, le mariage.

Nous sommes page 14,

Comme je vous l’ai dit,

Regardez cette « communiante » au bras de son père à l’entrée de l’église et la femme épanouie qui en sort quelques instants plus tard au bras de son mari.

Cette fois-ci, ce n’est pas moi qui les photographie ensemble, mais je me rattraperai quelques années plus tard, 38 ans exactement. Patience.


La culture de la photo, des portraits, des sourires,

Même si c’était vital pour moi de regarder et d’être regardé par l’autre, et c’est ainsi que j’y suis tombé très jeune, il est évident en voyant ces trésors de photos de famille, même chez mes grands-parents, que cette culture de la photo, du portrait, du sourire ne pouvait qu’engendrer ma vocation.

D’un autre côté, je suis le seul à en avoir hérité.

Un autre héritage.


La famille s’agrandîtpage 15

Le n°1, l’ainé arrive.


le second, moi.

Nous sommes à Pâques 1956, ma 1ère photo.

Je suis juste discret, dans le ventre de Maman (à gauche). Oups !

C’est là que tout va se jouer pour moi. page 294 et 375…

Quelques mois plus tard, je débarque.

Vous lirez, dans le livre, tout ce qui s’est joué à cette période.

Ici, je vous montre juste les photos pour illustrer tous mes mots. OK ?

mes premiers mois. Rigolo comme Papa se cache !

Je n’ai pas encore compris le principe de la voiture ! ou alors je me prépare pour une vie de Pin-Up ! LOL

Ces deux photos sont intéressantes, quand on connait la suite. J’ai quelques mois. Période importante pour mes parents, pour moi, pour la famille. le JY n’a pas l’air heureux, comme tout bébé parfois, vous me direz.

J’adore cette photo,

Papa, Moi, l’ainé, Marguerite, notre grand mère.

Ces regards, ce regard complice de Papa, le nôtre, déterminé, nos places, la mienne.

le mariage de mon parrain, Jean avec Annick.

‘Garçon d’honneur » rôle que je prends manifestement au sérieux !

une photo mythique. Je la reproduirais au départ en retraite de l’ainé, mais nous n’en sommes pas encore là, un peu de patience.


notre 1ère sœur, la 3ème.

Un jour surement heureux et léger, manifestement à la forêt de Cranou pour ramassee de la mousse comme de nombreux dimanches pour le magasin. Nos parents sont fleuristes.

J’adore ces photos.

le début des photos de Maman, « capturant » ses enfants seuls ou avec notre père. Vous savez pourquoi maintenant. page 372.

Cette première est bien rigolote. La frangine a un look d’enfer.

Regardez cette nouvelle photo, elle est surprenante,

cette mise en scène, due au hasard ou à la photographe, notre mère, par hasard :

Papa, on ne sait si il est blasé, mais il a l’air d’attendre sagement la fin de la séance, adossé à un pilier.

L’ainé, habillé des pieds à la tête comme notre père, chaussures, short et le polo, n’oublions pas que c’est Maman qui nous habille tous (sauf moi, depuis qq temps).

Moi, au soleil, à part, habillé différemment, même si sur cette tenue, j’ai fait fort ! un étrange short – maillot de bain « à fleurs, je me souviens du polo à dentelle serrée, avec déjà un appareil photo en bandoulière, manifestement le 2ème de notre mère, on dirait que je suis le seul à vraiment regarder notre mère en face.

Quand je vois ma tenue là, je comprends l’échange que Marguerite a eu avec Maman à mon sujet, à lire page 169. Maman ne voulant manifestement rien voir.

Notre sœur, bien droite, en bleu, un peu plus à part, et à l’ombre, mais la seule avec des lunettes de soleil ! Manifestement elle aimait les chapeaux, elle aussi.

Quelle bien étrange composition, surement due au hasard, mais si surprenante. Le « hasard » n’existe pas.


L’arrivée de ma petite sœur, la n° 4.

Rare photo de Marguerite à la plage. A cause de ses rhumatismes déformants, elle n’y viendra pas souvent, ayant du mal à marcher.

Je suis toujours surpris par cette posture que j’ai très souvent sur les photos avec la fratrie. Toujours la main ou le bras sur l’un ou l’autre, contrairement aux autres.


Voilà, nous sommes cinq !

Je comprends pourquoi j’ai mal à l’épaule droite de temps en temps ! LOL

et,

maintenant que nous sommes là, tous les 5,

c’est le moment de vous présenter LA photo, celle de nos vacances à Rospico.

Prenez votre livre à la page 367.

Bonne lecture.


Voilà, le cadre est présenté.

Maintenant, voyons la vie de JY.

Reportez-vous à la page 16.

et voici la photo de cette période. je suis en 7ème, en 1967.

Je l’ai retrouvée il y a peu. Je savais qu’elle existait mais je ne me souvenais plus ni où elle était, ni comment elle était exactement. Et courant juillet 2025, j’ouvre donc cette mallette du début de cet article et je trouve cette photo.

Et surtout, je découvre le sourire que fait JY, moi, au milieu du 1er rang.

Non seulement, je suis presque le seul à sourire, accompagné dans cet élan par mon voisin de gauche,

Mais surtout je fais un sourire qui dit quelque chose du genre : « Tu vois, on s’en est bien sorti. J’ai bien fait de le faire ». J’ai l’air content de mon coup.

En effet, je viens de prendre une décision qui va changer le cours de ma vie. Un de des premières du genre que je prendrais tout au cours de ma vie.

En voyant cette photo, j’ai l’impression que je m’envoie un message au JY d’aujourd’hui.

D’ailleurs, d’ici peu, je crois que je vais écrire un article sur ce blog où JY le jeune et JY le jubilateur vont échanger, car ils ont des choses à se dire.

Je vous en ferai part ici, c’est promis.

Voilà, depuis ce jour JY est parti pour une autre vie.

car manifestement, deux ans avant, ce n’était pas encore ce sourire-là, non ?

Pourtant, j’aimais déjà les pulls avec un peu plus de fantaisie ! en bas, à droite …


Nous sommes à la page 18.

Très peu de photos de cette période, juste de vagues souvenirs de 2 ou 3 photos mais impossible à trouver à ce jour.

Par contre, nous y sommes passés avec Vincent en mai 2015.

Je n’y étais jamais revenu depuis mon départ au printemps 1972.

un déménagement en cours, et nous avons pu y entrer. Emotions +++

Les couloirs, ma salle de classe de 5ème, l’escalier pour aller dans les bureaux des prêtres et professurs.

Et …. Surprise !

En préparant ces photos du Petit séminaire où je suis resté 5 ans, je suis tombé sur ceci…

où vous découvrirez la chapelle, la salle de réfectoire avec sa grande cheminée.

Merci infiniment à vous, Monsieur Stéphane BERN, Tellement heureux que ce lieu revive car lors de notre passage, c’était un peu triste :

la Cour d’Honneur !
Les couloirs du cloitre menant aux classes
Ma classe de cinquième
Cet escalier menant aux bureaux des professeurs
la cour des 4ème et 3ème….
Vue d’ensemble

5 ans de ma vie, tant d’échanges, tant de découvertes. J’y ai vraiment grandi. Que d’émotions en regardant ces photos et en voyant les projets en lien ci-dessus.

A lire à partir de la page 18.


Avant de passer au reste de la vie, terminons avec les photos de classe ! pas très fun, manifestement, mais comme je vous l’écris dans les pages 35 à 41, ma vie n’est pas vraiment là.

Classe de seconde C… vous m’avez trouvé ? rang 2, chemise pelle à tarte ou tartelette …

classe de Première C, je crois que j’ai la même chemise que l’année précédente, avec un de mes nombreux cabans. Toujours pas très souriant !

Classe de terminale, toujours C… même caban, un sourire commence à se laisser entrevoir ! ou alors c’est une grimace avec le soleil en face ! LOL

c’est à peu près l’époque du fameux Dossier de l’écran dont je parle page 40.


les années SUP DE CO, pas de photo de classe,

mais cette photo avec Véronique, ce soir où tout a commencé à s’écrire différemment, vous avez la rencontre décisive de la page 48, la rencontre avec Hervé.

La photo a été prise avant qu’Hervé n’arrive…

C’est le moment de vous présenter Hervé

septembre 1977, Ouessant avec Hervé

nous sommes page 51.

Mes 1ères diapositives scannées, vous savez celles de la boite de métal ! Quelle émotion !

aussi, je commence par celle-ci, hautement symbolique de cette nouvelle vie qui s’ouvre à ce JY, à tout juste 20 ans, je le sens ivre de cette vie à venir.

Tout aussi symbolique, comme un génie ou un zébulon sortant de sa boite de métal après 45 ans ou presque enfermé.

Oui, j’espère que vous ressentez la force de ces photos.

Je vous laisse découvrir le JY dans cette île avec cet hervé comme un pygmalion.

Le JY parait réfléchir un max sur certaines et parait si heureux sur d’autres. C’était exactement ce bouillonnement !

le zébulon de 1977 et d’aujourd’hui
la toilette du matin au lavoir !
Ce JY me touche beaucoup !
je sais tout ce qui est dans sa tête, et çà bouillonne !
A quoi pensais-tu JY ?
Typiquement, LA photo de fin de journée
où l’on peut être photogénique !
Vous voyez ?
Le pouvoir de cette mer à Ouessant
Les dunes Ste Marguerite (page 49)

Pas de photos de LA descente de l’escalier au bal de promo de la page 66, mais cette photo qui me fait hurler de rire encore aujourd’hui ! Comment ai-je pu aller torse nu avec cette veste au bal de promo ?

LA veste en vison !
Manifestement, au carnaval de Douarnenez,
j’aimais les capes et le chapeau…
et les bottes !!
Au secours ! LOL
et ce n’est pas fin ! LOL
Chez un ami qui me faisait découvrir des musiques
comme Genesis ou King Crimson,
Mais pas que de la musique… Apparemment ! LOL
Plane, Jean Yves …

Longtemps, cette coupe et cette barbe (pour me vieillir …)

puis un jour, je suis rentré à la maison, sans prévenir qui que ce soit, avec cette frange et cette barbe bien plus courte.

là, avec cette nouvelle coupe,
et l’air heureux dans cette nouvelle vie qui s’ouvrait !
tiens, du bleu !

Avant d’arriver à ce jean-Yves quelques années plus tard en Espagne, avec toujours une chemise qui n’avait toujours pas l’air d’avoir tous les boutons nécessaires … LOL … et je peux vous assurer qu’il y a eu du chemin de fait !

et ce serait presque de famille ! Non ? LOL

un de mes neveux, Bibi et mon père, à peu près au même âge tous les trois. il n’y a pas que la chemise qui est de famille… Chuttt !


Juillet 1979, page 74

je viens de parler à mon père de ma vie,

je pars camper avec des amis,

nous voilà, juste magnifiquement bronzés avec Colette et Michelle. Je ne sais pas encore tout le chemin qui m’attend avec ma mère !

les mêmes avec lesquelles les carnavals étaient toujours l’occasion de se déguiser avec grand plaisir,

à Quimper comme ce jour-là ou Douarnenez.

et manifestement, je m’aperçois que j’aimais les capes car me revoilà dans le rôle d’un chanteur d’opérette au Club Med à Pompadour quelques années plus tard. Non, on ne rigole pas !

ou encore, pendant cette saison d’été 1980, en danseur de valses de vienne avec de vrais costumes provenant du Chatelet.

Les soirs de ce spectacle, hors de question de trop manger ! car il fallait fermer la veste !

et puisque nous sommes au Club Med, Continuons.

Eté 1980, je suis donc à Pompadour (page 93) … avec Laetitia.

Sur cette photo, Laetitia (à gauche) avec son magnifique sourire.

Isabelle, l’autre sourire éclatant, (qui m’hébergera à Paris 2 ans plus tard, page 120) à côté de Laetitia.

Véra, la chef, la gestionnaire, qui met sa main sur mon épaule.

Cet été)là, il ne fait pas très beau.

Avec Laetitia et un autre GO, nous décidons d’aller chez le coiffeur nous faire des mèches pour y mettre un peu de soleil dans nos cheveux.

Je crois n’avoir jamais autant ri, quelques bons fous rires, de nous voir avec cette espèce de calotte d’où le coiffeur sortaient des mèches… oui, de bons fous rires.

il fallait bien une photo qui immortaliser ces mèches blondes comme jamais !

Hiver 80-81, Cancun, Mexique.

un peu plus de photos, car de nombreux groupes de mannequins américains venaient pour y réaliser des catalogues et donc quelques photographes « sympathiques » avec lesquels je « m’amusais » à poser…

et notamment La photo dont je parle page 99, la voici.

on y retrouve exactement le même sourire qu’en 1967, en primaire ! non ?

Mas cette fois-ci, je me souviens très bien du photographe…

ah cette frange ! trop belle ! et ce James Bond ! Ah Ah…

Sur la gauche, le fameux costume de la page 98, que je portais souvent sans chemise ! oups !

Les fameuses soirées « Chic » avec la présentation des cocktail !

Nous arrivons à Marbella, en Andalousie, été 1981.

Ses spectacles de Grease au fameux Cloclo avec ses clodettes, et ses défilés de mode dans un immense salon de marbre blanc… Le responsable boutique était un complice, toujours aujourd’hui mais nous ne faisons de défilés de mode ! LOL …

et LE numéro de « Comme ils disent » de la page 108.

Vous m’entendez ? On le sent un peu que je ne faisais pas semblant ! LOL…


Pour la suite, il me faut entre autres, rechercher, trier, scanner, et je me suis doté d’un scan supplémentaire pour toutes les diapositives retrouvées…

Voilà l’outil, l’investissement de l’année, qui me permet de faire revivre des diapos oubliées dans leur boite de métal et des négatifs jamais révélés…

Même moi j’en avais oubliées certaines et elles illustrent parfaitement certains moments du livre,

A très bientôt.

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